Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 juillet 2006 3 12 /07 /juillet /2006 21:09

Il était une fois un petit parti modéré et modeste mais bien ancré dans ses valeurs humanistes et sociales, tout en etant coloré plutot à droite pour son attachement au libéralisme et à l' l'esprit d'entreprise: le Parti Radical

Il faisait son bonhomme de chemin quand l'Union de la Droite (UMP) voulut rassembler tous les courants.

Le parti Radical fut biensur d'accord mais il tint à garder son indépendance au sein de cette Union...et il fut le seul (l'UDF et DL furent noyées dans la masse).

L'UMP grandissait, grandissait, le Parti Radical prenait un peu d'ampleur mais sans plus...

Arrivèrent alors 2 nouvelles tètes (J.L.Borloo et R.Dutreil) et ce fut une vraie cure de vitamines, avec des actes et du concret en totale cohérence avec les valeurs défendues. 

   Alors, piano mais sano,on vit le petit parti devenir grand, tant par le nombre que par la qualité des femmes et hommes le rejoignant.

Ne rien renier, faire sa place au sein de l'Union de la Droite pour équilibrer son action, voila notre objectif.

En Auvergne, le parcours est le meme, dans le Cantal , précisément aussi.

Notre Université d'été passée, un de nos invités nous a rejoint quelques jours après : Mr le Sénateur Pierre Jarlier.

Sur 4 parlementaires cantaliens , le Parti Radical en compte 2 à présent : Yves Coussain et Pierre Jarlier !!!

De nouveaux socio-professionnels nous rejoignent dans cet élan.

Fin aout, on fait le point au Congrès National ...et la rentrée sera tonique et constructive...

On compte sur vous et...vous pouvez compter sur nous.

Nicole Moissinac

 

 

 

Partager cet article
Repost0

commentaires

1
C'est dingue. Une coalition composée d'une minorité communiste ou socialisante importante fait passer des réformes que la droite française n'est même pas prête d'accepter, le tout en reprenant à son compte le vocabulaire digne de vieux bolchos convertis à l'altermondialisme.Quant aux ministres français, ils ne dépareraient pas à la fête de l'Huma. C'est ahurissant de constater le niveau de clientélisme de ces gens là. les buralistes d'un côté, les taxis de l'autres; les plombier ou les professions libérales encores, etc...Pas très rassurant ni engageant.
Répondre
J
Voila votre cher Dutreil... je suis déçu par le PRV finalementLes taxis protestent contre un projet du gouvernement italien, concocté en secret, qui prévoit d’augmenter le nombre des licences.Ces licences se vendent 120 à 140.000 euros dans les grandes villes, coût qui se répercute sur les tarifs, parmi les plus chers d’Europe. L’attente moyenne à Rome est de plus de 40 minutes. A Milan, il y a 1,6 taxis pour 1.000 habitants, 2,1 à Rome, contre 8,3 à Londres et 9,9 à Barcelone.De leur côté, les associations de pharmaciens protestent contre la vente de médicaments sans ordonnance dans les supermarchés. Les avocats manifestent contre le projet d’éliminer les tarifs fixes ou minimums obligatoires. Les procédures d’ouverture des magasins vont être simplifiées, mettant fin à l’obligation de respecter une distance minimale avec des vendeurs de produits similaires. La certification du notaire pour vente de véhicules entre particuliers va être supprimée. Les clients des banques seront mieux protégés, les courtiers en assurance pourront représenter plusieurs compagnies. Les Class actions seront autorisées.Une réforme envisagée en France, mais qui n’a pas vu le jour. L’économiste Francis Kra-marz, ayant proposé en vain d’ouvrir en France l’accès à plusieurs professions réglemen-tées, dont celle des chauffeurs de taxis, tire son chapeau au chef du gouvernement italien, R. Prodi : « S’attaquer ainsi aux lobbies qui bloquent la situation et empêchent la création de richesses, c’est un vrai signal réformiste. »En septembre 2004, N. Sarkozy, alors ministre des finances, et J. L. Borloo, ministre de l’emploi, adressent une lettre de mission aux économistes Pierre Cahuc et Francis Kramarz, chercheurs au Crest, laboratoire dépendant de l’Insee, pour « proposer des solutions concrè-tes permettant de réduire le chômage et le sous-emploi persistant en France ».Le rapport Cahuc-Kramarz, suggère « d’engager des négociations avec les organisations professionnelles pour permettre un accès équitable aux métiers et professions ». Evoquant « l’exemple des taxis », ils proposent de modifier la tarification et les règles d’entrée, suggérant de supprimer les contingentements des licences, ou d’en augmenter massivement le nombre.Cette suggestion restera lettre morte.Le ministre des PLE, Renaud Dutreil, confirme qu’un tel projet « n’est pas à l’étude », et pré-fère avancer d’autre arguments pour justifier le statu quo. Il dénonce « les effets dévasta-teurs de l’hyper-concurrence » que ne manqueraient pas, selon lui, de provoquer ces « vieil-les recettes ultralibérales ». Se disant soucieux de préserver le pouvoir d’achat de « gens qui travaillent 50 à 60 heures par semaine », il invite ceux qui prônent l’ouverture à la concur-rence à « regarder plutôt du côté des banques ». M. Kramarz ne croit pas que « le président ou le premier ministre soient convaincus des bienfaits de la concurrence », peu amène pour « ces énarques qui ont eux-mêmes bénéficié de rentes ».<br />
Répondre
J
Bonjour,<br />    Tous ce qui est petit, devient grand un jour ..<br /> PS: Avez-vous lu l'article du journal la voix du Cantal sur les commercants qui grognent car leur chiffre d'affaire diminue de 50% à cause des travaux. L'indéminisation de la mairie ne sera versé qu'en Octobre au plus tôt.  C'est le déclin du centre ville historique de la préfecture.
Répondre